Des rencontres, amoureuses …

… et les interprétations personnelles que j’y ai trouvées. La vie de femme n’est pas toujours facile, et jongler avec les demandes de la société, les demandes des hommes et celles des bambins est un art qui me laisse pantois.
Et toujours, en arrière plan, Carl Gustave qui se permet quelques clichés sous formes d’archétypes féminins aux contours souvent bien définis, parfois flous, toujours ambivalents.
Bien entendu, il ne s’agit que la vision subjective d’un homme qui ne prétend à aucune universalité.
A peine un partage, avec d’autres hommes et les femmes qui s’y reconnaîtront.

ELLES
Oh oh oh !
Elle se démène elle court,
Elle jalonne de nouveaux parcours,
Elle aime quand on lui fait, la cour,
Uppercut, et cela sans grand discours.
Elle ferait tout pour eux,
Elle le fait c’est encore mieux,
En esclave, ça vous crève les yeux,
En d’autres temps et en d’autres lieux.
La fille de Belfast, is running fast,
La fille de Venise, balise.
Elle est en parallèle,
Papillon-passion, douce, et cruelle,
C’est là ce qui m’attire, d’elle,
Elle, Ibère, neiges éternelles.
La fille de León, mi corazón,
La fille de Venise, balise,
La fille de Belfast, is running fast.
Elles, plus belles à chaque fois,
Elles en vers, elles en droits,
Pour compléter nos hémisphères,
Elles jusqu’au cou, et en travers,
Ah ah ah !
Elle voulait sauver le monde,
Diriger la ronde sans fronde,
De l’oubli à la colère qui gronde,
La la la la la la la la.
La fille d’Aberdeen, a le spleen,
La fille de León, mi corazón,
La fille de Belfast, is running fast,
La fille de Venise, balise.